Bonjour,
Nous venons de recruter notre première salariée à la Marcasserie.
Celle-ci gérait auparavant un magasin de vrac, et elle était tenue d’avoir un cahier de traçabilité.
Elle se demande si nous sommes soumis à la même obligation de disposer d’un cahier de traçabilité des produits en fonction de leur n° de lot.
Je précise que nous ne vendons pas de produits en vrac pour l’instant, et que nous sommes sous un statut associatif.
Pouvez-vous partager vos conseils et vos expériences en la matière ?
Odile
Il me semble qu’on est soumis à l’obligation de traçer les produits mis en vente pour pouvoir retirer d’éventuels lots s’il y a des problèmes d’ordre sanitaires.
Mais il ne me semble pas qu’il y ait d’obligation de moyens, comme par exemple d’avoir un « cahier de traçabilité ».
A La Cagette, nous n’avons pas de cahier de contrôle. Notre protocole en cas de rappel produit est que nous retirons de la vente tous les paquets ouverts et nous les jetons à la poubelle. Si le problème sanitaire est grave on tâche de prévenir tous les acheteurs concernés.
Notre certificateur bio a validé ce fonctionnement. Cela dit, nous n’avons jamais eu d’autre question à ce propos venant d’un autre organisme de contrôle. Peut être qu’on est passé à côté de quelque chose ?
Merci Antonin pour ta réponse !
Nous allons voir quelles procédures mettre en place pour pouvoir tracer au mieux les lots de produits.
Le plus difficile semble être de faire le lien entre acheteurs et lot défectueux.
A La Chouette nous un cahier similaire pour le vrac, uniquement. Mais je ne sais pas si c’est obligatoire.